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seven size skip to main | skip to sidebar hipopopéra venir de partout et n'être de nulle part, tel est le quotidien d'un putain de bâtard lundi 1 octobre 2007 pubgolf pubgolf : autre nom donné au "pubcrawl" pour désigner une tournée des bars. sa particularité s'appuie cependant sur la tenue de golfeur imposée et sur un parcours de minimum 7 bars, chaque bar ayant sa boisson assignée. le gagnant est celui qui aura fini ses verres avec un total de gorgées miminum. je me réveille, la journée a été longue. cleaning, footing, accounting, cling cling cling. j'arrive au backpack avec toujours cette histoire de pesto dans la tête. nous sommes mercredi, un bon jour pour faire sa lessive. ca tourne, quand je croise la "gorgious" lyndsey, ma poto anglaise sortie tout droit d'une explosion de sex. piercing sur la langue et au nombril, tatouage en bas des reins et dans le haut du dos, rondeurs qui réveillent les morts, son sourire est ensorcelant. elle partage avec moi le cleaning de l'auberge et bosse également sur un stand du "sexpo" qui a lieu cette semaine.- how's it going?- good, thank you, you come tonight to the gaff.- what?- i've got free tickets in my bag, call me after the diner.- but, what's your number?elle me file son numéro, je lui dit que je vais manger, bien sûr, mais qu'il faut que j'attende ma machine.- ok, no problem. i'll probably be already inside. text me when you'll be ready, i'll will meet you in the front of the gaff.le gaff je connait pas. vite, je fais le tour des environs et me renseigne auprès de mes alcolliques. je pose mes questions s'en trop vraiment y croire et la réponse sonne comme un écho, c'est un bar sale, définitivement, un truc à faire même si on sait que ca ne finira pas bien.je termine mes affaires en cours et me voilà dans la rue, $50 en poche à la recherche du lieu proprement dit. c'est cool, c'est à 2 minutes. techniquement parlant, c'est très important. petit échange de textos, je retrouve mon anglaise devant l'entrée, comme prévu. richard est déjà à l'intérieur et me fait goûter son whisky-coke. ca ressemble plus à du whisky qu'à du coca, mais c'est bon. petit tour du propriétaire au bras de la charmante lyndsay, je commence à faire connaissance. le rez-de-chaussé est un bar à serveuses bas résilles dansant sur le comptoir et le sous-sol une discothèque. tout est réuni ici pour passer une soirée digne de ce nom.avec richard, nous avons décidé de passer l'apéro. 1er verre, 1ère cigarette, 2ème verre, 1er spiff, 1er shooter, 3ème verre, 2ème cigarette, tout s'enchaine à une vitesse de tgv. je commande 2 shots de jagger miester white et en fait profiter lyndsay. elle sourit, le boit cul-sec, commande 2 bières, nous les finnissons sur le même tempo. plus que $25 dans mon porte monnaie. il faut faire quelque chose pour lutter contre la fuite des capitaux à l'étranger!le reste de la soirée n'est plus qu'anecdotique. rencontre d'un belge de l'auberge qui tourne autour de lyndsey coomme une mouche à merde, 5 allemandes qui restent ensemble à parler en allemand en buvant des bières, une demi-heure de danse tribale initié par richard et suivi par lyndsey et moi-même, une ouf qui commande 5 shots de téquila et qui se les enchaîne en feuj en moins de 7 secondes (j'étais sur l'affaire, j'ai pas pu gratté une seule goutte), un whisky coke pour me consoler, beaucoup trop de collé-sérré avec lyndsey, un raté de podium phénoménal, je m'en souviens parce que le lendemain, j'avais un énorme bleu sur le bras gauche, la même ouf qui fait plus la maligne 5 minutes plus tard et enfin pour couronner le tout, un concours de t-shirts mouillés. fracture de l'oeil, lyndsey me glisse dans l'oreille que la semaine dernière elle a failli gagner. le belge continue à nous coller. je n'en peux plus, c'est la fin des préliminaires, je vais me coucher.je n'ai pas rêvé, j'ai bien vu un concours de t-shirts mouillés. les souvenirs sont pêle-mêle dans ma tête. je me souviens de la rabateuse qui recrutait à tour de bras dans le sous-sol du gaff. mais où va la jeunesse, je me le demande. enfin pas trop longtemps, j'ai faim, c'est bientôt l'heure du dîner. avant même que je commence à me décider si j'allais manger des pâtes ce soir, on me prévient que c'est l'annniversaire d'andy, un anglais de 22 ans, mesurant bien 1m90, aux cheveux long et au poid dépassant les normes internationales. il est dans l'auberge depuis le mois de mars. nous partons, avec la colonie anglaise pour un restaurant thaïlandais dans kings cross. petit stop dans un "bottle shop", y paraitrait qu'on peut apporter notre tise dans les restaurants.petite bouffe bien sympa, accompagnée de nos caisses de vin, nous passons pour de purs pochtrons. d'autant plus que normalement, il y a une tax pour chaque bouteille. mais on nous aura pas à ce petit jeu là. nous nous employons discrètement à jeter les bouteilles vides une à une, chaque fois qu'un fumeur va polluer l'atmosphère. le repas se ter-mine avec une pauvre bouteille vin blanc à peine finie. ambiance chaude, je suis déjà pété.timo arrive à la fin avec cindy, décidé de tirer tout le monde au wild bar. encore un bar sale. la rabateuse qui était passée avant notre départ à l'auberge est suédoise et parle très très très bien français. elle nous a offert des entrées gratuites. c'est trop bien! a peine rentré, l'odeur de bière se jette sur mes narines. la musique, du rock, indansable mais jeune et incommensurablement australien. y parait que j'ai fait n'imp encore. je m'en souviens plus, j'ai dit ça à ma boss cindy lors du debriefing du breakfast. tout ce que je me souviens, c'est d'avoir tchatcher au moins une heure avec maya la suédoise et j'ai du obtenir au moins 5 shots et 2 bières. cindy m'a appris qu'elle vient de se marier avec un australien pour obtenir un visa. ce matin, encore, j'ai très mal à la tête.je n'ai plus le temps de réfléchir à la suite. ce soir encore, et comme toujours, le temps de ranger mes neuronnes en prison, de cloisonner mon air sérieux et de vider mes pensées burlesques est enfin arrivé. le téléphone dans la main, la première bière de la soirée dans l'autre, oui, il est temps de commencer la soirée, au william par exemple.j'apprend qu'un pubgolf est lancé. c'est l'effervescence dans l'auberge. nous sommes samedi, pratiquement personne ne bosse ce soir et demain. ca va être l'orgie, à coup de whisky-coca, de cul de" skooner", de vodka-redbull et de jagger bomb, la soirée s'annonce atroce pour mon estomac. le plat de pâtes qui m'attend va être salutaire.8h, la troupe est en marche, ferme et décidée. parmi les soldats, pas mal d'anglais, des canadiens, des hollandais, des belges. le premier stop au william est sans interêt, nous prenons simplement une bière et nous buvons le temps d'expliquer les consignes à toute la troupe. j'en suis à 3 gorgées. ensuite, nous débarquons au lord robert, c'est un peu la revue des troupe avant la bataille, on vérifie nos attirails, chaussettes, béret et club de golf en plastque. certains s'entraine à l'extèrieur, la tension est palpable. deuxième bière, j'en suis à 6.le strand est juste après. la boisson à boire : le jagger bomb!!! bim, cul sec, avé le redbull, ça se boit comme du petit lait. l'arret est assez long. les tables à l'extèrieur appelle les fumeurs et l'ambiance commence à se détendre franchement. c'est le prélude avant la bataille. nous discutons de tout et de rien. andy reprend les rênes et nous envoit tous au bar suivant. nous avons perdu lew et laura. je me souviens plus du nom, mais c'est un pub irlandais. jenna fait un cul sec sur la pinte de guinness. biiim. moi j'en suis 6 + 1 cul sec + 3.je retrouve jenna et andré pour une séance photo. ca flashe de partout. je crois que j'ai essayé de l'embrasser, son copain alec n'a pas pu venir ce soir, il bosse. 2 minutes plus tard, je la retrouve autour de mon coup en train de me faire des bisous. hop hop hop, laura et lew sont de retour. à peine le temps de boire leur pinte, nous somme déjà reparti.les premières blessures se font sentir. la marche jusqu'au sport bar est interminable. nous jouons au golf dans la rue. les rabatteurs essayent de nous attrirer mais andy veille à garder le cap. louise, la pote de lyndsey qui est reparti en angletterre, commence à être déchirée. richard joue de la guitard, mickael fait le beau, james continue à boire, et rick le grand hollandais ne fait plus le malin. nous pouvons boire un shooter de ce que l'on veut au sport bar. maligne, jenna commande 2 shots d'eau et fait croire à tout le monde que c'est de la vodka. biim, nous les buvons cul-sec.commence alors la vraie bataille. nous arrivons devant l'entrée d'un bar select. je suis déchainé, je file au toilette vider le surplus, et me rend au comptoir commander mon verre de rouge. je le bois cul-sec et c'est la que je croise pete qui sors déjà du bar. il m'explique rapidemment que james ne peut pas rentré, il parait trop bourré. je le regarde comme si je ne comprenais pas.nous sortons, un groupe est déjà parti. je rejoins en expédition ceux qui sont encore devant le bar selec pour la prochaine étape. il commence à pleuvoir. nous nous retrouvons à l'étage d'un pub cosy, avec une ambiance sombre, feutrée et serré. je n'ai plus la force de commander un verre. mais où est le reste de la troupe? andy essaye tant bien que mal de rapatrier tout le monde ici avec son mobile, même si c'est petit. finalement, nous levons le camps pour rejoindre le reste des troupe revenu au sport bar.je lache le groupe, je n'en peux plus, un fast food est ouvert devant moi, je commande un menu, j'attend 3 plombs, décidé de dévorer mon dwhich en 3 secondes. quand la serveuse revient avec mon menu, je suis aux anges, je pars à la recherche des mes alcooliques tout en mangeant mes frites. le dwich au poulet est dégueu, y'a plein de citron, je crois que j'ai dû mettre 3/4 d'heure à manger mon menu, en attendant dehors devant le sport bar. il continue à pleuvoir. a la fin de mon repas, je rejoins tout le monde à l'intérieur, le moral est au beau fix. personne ne contrôle plus rien. nous sommes 15 autour d'une petite table carrée en plastique. je discute 20 minutes peut-être, je comprend plus rien, mais bizaremment, j'arrive à parler parfaitement anglais. tout le monde est bien jouyeux, à l'intétrieur.soudain un mouvement se lance, je suis louise qui va tchatcher avec des inconnus. j'avais pas remarqué, mais sur les photos j'ai pu m'apercevoir qu'elle avait du maquillage plein la figure. c'était donc pour ça que les passants se retournaient. le retour au william est fracassant. j'ai pris un taxi avec louise, on était à 200m de l'auberge. tout le monde débarque un à un. la troupe se reforme tant bien que mal, les traces de la bataille sont sur chaque visage. dernière bière avant d'aller se coucher. timo est de service au bar, je tchatche 2 secondes, impossible de tenir une conversation. petit clin d'oiel à lee, la jolie serveuse, elle me tire la langue. je reviens vers richard, on finit cul sec nos bières. je décolle, et j'atterie dans mon lit.la nuit a été très agitée, impossible de fermer l'oeil, ce porc de lew a gerbé une énorme gallette derrière l'auberge, ça empeste. laura est dans son pieu et ils font du bruit, pas qu'il soit bruyant mais pas possible de s'endormir. a la fin de leur ébats, je me lève et monte au "rooftop" boire un coca histoire de me détendre un peu. j'y retrouve les cadavres, gisant sur les canaps, la musique à donf et les yeux pourtant bien fermés. presque 3h, le soleil va se lever bientôt. j'apprendrais plus tard que 2 anglais de manchester ont squatté toute la semaine dans l'auberge sans payer, ils ont même eu le luxe de pioter dans ma chambre. quand je les ai vu se coucher, après le pubgolf, je croyais simplement qu'on les avait simplement changé de chambres, tellement je les avais vu dans l'auberge cette semaine.finalement, personne ne saura vraiment qui a gagné. et tout le monde s'en fout.voici des photos, des vidéos, tout presque est là, encore frais dans ma tête, et pourtant déjà si loin. désolé les gays, je n'avais pas prévu le coup des t-shirts mouillés, y'a pas de photos dispos. publié par popop à l'adresse 02:16 0 commentaires libellés : channel seven, fairy tales, oz, story board, sydney lundi 24 septembre 2007 j'ai mange du kangooroo vous savez quoi, mon anniversaire tombait 2 jours après mon arrivée en australie. et comme surprise j’ai reçu un cadeau de bienvenue.après une première nuit australienne dans un des plus anciens backpacker de sydney, jolly swagman, bien mais un peu trop impersonnel, je suis tombé par chance au wood duck inn, un backpacker très spécial où je suis resté plus de 2 mois.le wood duck où j'ai logé pendant 2 bons mois est un petit coin de paradis à l’intersection de william st et hyde park, tout près de la city et à 30 secondes du botanic garden.bâti sur 3 étages, il possède un « rooftop » avec une vue unique de sydney et de sa tower. lieu particulier où se retrouve tous les backpackers pour boire un verre de « goon », fumer une clope, cuisiner son repas, regarder la télé confortablement installés dans les canaps, manger un « bbq » assis sur surf ou tout simplement profiter du soleil.si vous chercher le top au niveau quality street, passez votre chemin. mais si vous êtes à la quête d’un endroit sûr et accueillant après de longs trips sur les routes austaliennes, faîtes-y un stop. l’ambiance de surfeur branleur y règne, avec 50 pieux au maximum, ce qui permet de connaître rapidement tout le monde. la plupart des collocs se connaissent car certains sont là depuis 4-5 mois, d'autres vont et viennent entre des trips à perth, darwin, broome, alice spring, melbourne, brisbane ou encore cairns. pour les petits nouveaux, c’est simple, soit ils décident de faire un long stop soit ils reviendront.le staff est vraiment génial, grâce une petite belge au sourire ravageur. surtout ne lui dites pas qu’elle est petite, elle vous en voudra beaucoup. toujours prête à rendre service, elle sera à votre écoute et vous donnera les meilleurs conseils possibles. dans l’équipe, il y a aussi timo, le hollandais qui remplace cindy pendant ses jours off, alec et julien qui font le « night managing » et wendy qui aide pour le "cleaning". j’ai fait ma petite entrée dans l’équipe en faisant le cleaning pour payer ma « rent ». j’ai vite trouvé un 2nd job en tant qu’ « account manager ». avec $20 de l’heure en « cash in hand » et aucune rent à payer, j’ai pu mettre un peu d’argent de côté.avec ces 2 boulots, mes semaines étaient assez pleines avec à peine 2 après-midi "off". cependant, les activités le soir sont débordantes, entre leçons de salsa improvisées, tournées des bars sales, entrées gratuites dans les clubs avec bière offerte le mardi et le jeudi, les concours de t-shirts mouillés, les soirées tournois billards ou quiz au bar d’en bas, les "bbq" de kangooroo sur le rooftop accompagnés de shows aborigènes. avec tout ça, je trouvais quand même le temps de taper le foot au « domain », juste à 30 secondes, histoire d’éliminer le surplus d’alcool. j’ai même eu droit à un tour aux blue mountains, au frais de la princess. en fait, après m'avoir mis dans un de dortoir de 8 mecs, j'ai fait la gueule pendant pendant 2 jours et comme je bossais quand même bien, j'ai été ré-componsé. merci cindy !lui, c’est mon pote skippy le kangooroo, que j’ai rencontré en bas des « blue mountains »ca y est, c’est fini sydney. voilà déjà plus de 3 mois que je suis à sydney. 3 mois de bons moments, 3 mois à préparer mon prochain trips, 3 mois à courir dans le botanic garden et à jouer au foot au domain, 3 mois à bosser, 3 mois à boire, 3 mois à faire des courses aux woolworths de town hall, 3 mois à écouter les histoires de mes potos, 3 mois à leur raconter des conneries et 3 mois à manger du chocolat quand ça va pas.ca y est, c'est reparti. prochaine étape darwin et les mangues. publié par popop à l'adresse 23:00 1 commentaires libellés : backpacker, oz, sydney vendredi 21 septembre 2007 surfing at the wood duck inn ce soir, j’ai essayé de me souvenir de toutes les personnes que j’ai rencontrées au wood duck, le backpack où j'ai logé pendant plus de 2 mois. j'ai pu partagé un moment avec chacune d'elle et elles m'ont fait voyager avec chacune de leurs histoires. enorme big up big up bip up à chacune d'elle. a peu près dans l’ordre, en gras les gens sur les photos et en pas gras, pas les gens sur les photos : cindy, the foxy girl, creg, son ex-copain, très gentil mais pas trop concerné par le backpacking, wendy, le fantôme qu'on voit jamais qui parait toute sage mais qui se torche la gueule le soir avec ses groupes de "dutchs", timo, papa duck le hollandais, vanessa, sa copine allemande de reour de haïwaï, julien, le français qui passe son temps libre à fumer des spiffs et à cuisiner, et qui m'a tellement aider depuis que je suis arrivé, avec peter un des 2 millions de hollandais que j’ai rencontré, alec, le branleur « south fairy », jenna sa copine qui me fait des bisous « northern monkey », brett le canadien que j'ai vu un jour et qui a transformé un tuyaux d'arrossage et un entonoir en une nouvelle façon de boire une bière, kalon le canadien bi aux cheveux rouges qui s'appelle aussi "mother fucker", andy, l'anglais inventeur du pubgolf qui peut être trop lourd parfois, james, l’anglais tout le temps bourré, avec sa copine alice de 18 ans qui a obtenu un sponsorship mais qui rentre en angletterre parce qu'elle a le cafard, mickaël, l’anglais qui pue un truc de "daouf", je tiens à le souligné, parcequ'il a été dans ma chambre pendant un mois et j'ai appris à ne plus respirer quand je dormais, les deux allemandes inséparables sarah, l'accro à msn et ne parlant que de "flying dogs" (à savoir qu'on appelle les chauve-souris ainsi en australie) et charlène qui ne sait pas trop quoi faire de sa vie, mais qui cherche une paire de converse, kearon le gay, accessoirement anglais, louise et lindsey les anglaises « gorgious », lew le rugby man qui pue autant que mickaël, laura la rousse, la meuf qi’il a niqué dans ma chambre de 8 mecs après avoir gerbé 3 litres de corned beef, berbel, la hollandaise à tête de cheval, koen, mon "roomate" hollandais perdu je ne sais où avec son van, richard, lion heart, fondateur du punk phénoména, andré l’allemand aux cheveux longs qui ressemble à goeth et sa meuf lian de nouvelles-zélande, marco et thomas, les ritals, alice l’irlandaise trop bien, ruth le guitariste, vicky, l’australienne dégueulasse de perth, franziska, manuela, carolina qui m'attend à cairns et michaella pour les allemanda, gaz, le gros porc cuisto, gay, l’australien qui s’est fait viré, yves le belge qui est un peu suisse sur les bords, bb la viking en string, rick le grand hollandais. y’a eu aussi des belges, des suédois, des argentins, des japonais, des koréens, des chinois, des irlandais, des masses de hollandais, des gens qui jouent au golf en pleine rue et des anglais de manchester qui arrivent à squatter dans le backpack pendant une semaine sans payer.sans oublier lina ma copine kyte surfeuse, qui finit son visa et s'en va travailler à makao à partir du 3 novembre.j’espère que je n’ai oublié personne.la pensée du soir : voyager permet de rencontrer tellement de personnes, de partager tant d'expérience, de se fendre la gueule, mais aussi d'être déçu, de trouver détestables certains individus et sutout de devoir dire au revoir. ca ressemble à un peu à la vie, en un peu plus accélérée. publié par popop à l'adresse 01:00 0 commentaires libellés : backpacker, memento, oz, story board, sydney samedi 15 septembre 2007 jagger bomb la recette du jaggerbomb : verser dans un grand verre une cannette entiere de redbull, remplir un shooter de jaggermiester black et mettre le shootter plein dans le grand verre de redbull. boire cul sec. la veille, je rentrais extenué au backpack après une dure journée de labeur pour gagner ma pitance. la seule envie qui me tenait en vie était l'existante idée de me faire un bon plat de pâtes au pesto saupoudré de 21 grammes de parmesan. je lance mon affaire quand soudain mon téléphone se met à sonner. c'est koen, le dutch qui me demande de le rejoindre dans un bar et accessoirement le numéro de julien. mon cerveau est en compote, impossible de parler, je lui dis que je lui envoi tout par sms. les pâtes sont bientôt prêtes. je croise alec, un anglais fan de mortorcycle. on commence à tchatcher, ou plutôt, je commence à manger pendant qu'il me parle. son phone sonne, c'est encore koen qui demande le numéro de timo. il est déchaîne ce soir. je termine mon affaire en cours et je cours rejoindre l'armée qui se met en route, juste dans le bar en bas du backpack. a peine le temps de boire une bière et de bailler 5 fois que je comprend que l'on va se la coller sévère, au "three wise monkeys" un bar où se jouent des concerts en live.c'est là que le black out commence. je commande une vodka redbull pour faire le plein d'énergie. le barman me prend pour un gros touriste avec mon accent, il me fait payer 12 dollars. pour le prix qu'il m'a fait payer, je le bois cul sec. on m'explique alors qu'en fait c'est $6 la vodka avec n'importe quel jus et le redbull c'est aussi $6. je recommande alors une vodka pomme, pour $6. le concert commence, l'ambiance monte tranquillement, le groupe joue des classiques qui se révèlent efficaces. je tchatche avec des irlandaises dont une est prof de français. c'est quand même plus facile de tchatcher dans ces cas la.pas le temps de finir ma cigarette, timo me tire et me commande un jagger bomb. c'est là que tout s'enchaîne, je continue mon remus-ménage avec la jolie irlandaise et d'après mes souvenirs, ben je crois que je suis rentre tout seul. le lendemain, petit debriefing pendant le breackfast, tout le monde me dit que le modjo coule dans mes veines. il s'est avéré que j'étais déchaîne et que barbie, une dutch m’avait choisit comme partenaire pour le cours de salsa improvisé au backpack, qui aura lieu ce soir. voila l'histoire du jaggerbomb, qui m'a oblige à danser la salsa avec une barbie, mais quand même c'était cool. j'ai pas mal appris et j'ai même trouve une autre partenaire allemande avec j'ai bien accroche, qui s’appelle carolina. elle est partie hier avec sa copine "kulshrank" et m'a envoyé un sms pour qu'on se rejoigne à cairns dans 9 semaines et demie. viel spass publié par popop à l'adresse 19:00 2 commentaires libellés : fairy tales, oz, sydney mercredi 12 septembre 2007 tchi tcha un lundi tranquil et ensoleillé, mon téléphone sonne, je décroche. c'est ma pote galette qui prend des news. deux trois "bonjour, comment ça va bien?", à peine le temps de prendre la température que déjà elle est au taquet."- tu connais silverchair et powderfinger? ils passent en conserve le 9 à sydney, ça te dirait toi?- euh, ouais, ok... pourquoi pas- place assise ou debout?- ouais, ouais, mais je connais pas trop, silverchair j'aime bien mais l'autre, faudra que tu me fasses découvrir, t'as un cd?- places assises, de toutes façons, il ne reste que ça. c'est 100 dollards la place.- ok- emballé, c'est pesé. c bon, j'ai un cd de powderfinger, je te ferai écouter, t'inquiète, allez salut."ma copine galette, c'est comme un ouragan, je comprend pas tout à chaque fois, on doit pas vivre sur la même planète. mais y'a des fois, quand même, on se tape de bons délires, va savoir pourquoi. cette fois encore, j'ai pas tout compris et c'est pas grave.la semaine file à toute vitesse, je réalise tout d'un coup que c'est dimanche et que je suis au stade olympique de sydney pour un concert exclusif de 2 groupes australiens mithyques, tellement que le 1er concert programmé la veille affichait complet et qu'ils ont dû en faire un en plus rien que pour nous. la classe.voici les présentations:originaire de newscastle, le groupe silverchair à tendance grunge se compose d'un chanteur-guitariste qui ressemble à s'en méprendre à sting, d'un bassiste et d'un batteur. petit groupe sans prétention, son succès provient en grande partie de son chanteur charismatique, véritable chauffeur de salle et guitariste hors pair, jouant de la guitare aussi bien avec ses mains, qu'avec ses dents.powderfinger est un groupe de rock alternatif provenant de brisbane. pour le découvrir je vous conseille d'aller faire un tour sur leur site web afin de découvrir leur dernier album.quelques photos du concertet deux petites videos publié par popop à l'adresse 00:36 0 commentaires libellés : channel seven, event, oz, story board, sydney vendredi 17 août 2007 rocks, cbd and royal botanic garden situées à l'ouest du port de sydney, les rocks sont les anciennes docks restaurées pour nous, les touristes. au rendez-vous, petites ruelles et escaliers, avec des bars et des restaurants dans les arrières cours. ambiance feutrée garantie!en continuant jusqu'à la pointe, vous tomberez sur une vue magnifique d'harbour bridge et de l'opéra.un marché a également lieu tous les samedi et les dimanche, mais attention à votre porte-monnaie.(la photo a été prise après une énorme cabane...)en remontant les rocks, vous tomberez sur l'observatory point, le point le plus haut de sydney avec un panorama magnifique.continuons ce petit tour de sydney par une balade au beau milieu du cbd. présenté précédemment, il est le coeur du business de sydney.tout les monsieurs en costume noir et cravatte jaune et rouge sont concentrés dans ce quartier de sydney.pour se retrouver, il faut lever les yeux et chercher la tower, attraction touristique sans aucun intérêt. non, je me suis pas fait avoir. en tout cas pas encore.pour reprendre le terme que j'aime, sydney et son cbd est un véritable melting-pot urbain. certaines anciennes bâtisses sont réellement magnifiques et s'imposent dans le paysage malgrè la grandeure des skycrapers qui les entourent.allez hop, un petit coup de tower en reflet sur les jolies vitres bleues ciels. j'adore la photo de droite, avec ce graff énorme.sur la photo de droite, il s'agit d'un "famous" bar de sydney, où il y des concerts live.en fait, le three wise monkeys est sur 3 étages, et je me souviens y avoir bien discuté avec un groupe d'irlandaises. j'aime bien les irlandaises avec leur tâches de rousseurs. j'avais bien accroché avec l'une d'entre elle, on tchatchait pas mal, mais faut dire aussi qu'elle était prof de français. enfin bon après je me souviens plus trop du reste, sauf que le lendemain j'étais enrolé d'office dans un cours de salsa. mais ça c'est une autre histoire.elle steack haché où la towel? et voici quelques photos de sydney by night. a gauche l'église ste marie, à droite un petit coup de tower,parce que ça vous manquait, j'en suis sûr et en-dessous, une grande avenue pleine de voiture, avec mon backpacker juste à droite. ouais, je sais, on voit rien, mais c'est normal c'est la nuit!terminons cet article par un petit tour dans le royal botanic garden de sydney. j'adore le botanic garden.tous les matins, presque en tout cas, enfin au moins une fois par semaine, je vais me dégourdir les jambes dans ce parc magnifique qui donne sur la baie de sydney. a deux pas de mon auberge, je vais courir le long du bord de mer, profitant ainsi des fraîches odeurs marines et de la douce chaleur du soleil levant. ce qui marque vraiment lorsque l'on fait attention à la flaure australienne, c'est la taille impressionnante des arbres. on se demande avec quoi ils sont fait. d'après ce qu'on m'a dit, c'est que les plus grands ont été plantés lors de l'arrivée des premiers colons. ce qui veut dire, si je ne m'abuse qu'ils sont vieux de plus de 50 ans. moi ils me font penser à des brocolies géants.du botanic garden, vous pouvez apercevoir la tower dépassée de la cime des arbres. en continuant votre chemin à travers les divers passages, vous tomberez dans des ambiances differentes, suivant les humeurs des jardiniers. il y a plusieurs petits jardins, dont le succulent garden peuplé de cactus et un autre garden avec un petit pont en bois. une tribu de cacatoès blanc à crête jaune a pris possession des lieux. on les reconnait très facilement à leur cris plutôt agaçant. a gauche l'opéra et harbour bridge, à droite les palmiers. ca claque pas mal quand même.a droite, encore harbour bridge et à gauche, un arbre perdu.bon, ben la je suis fatigué, fin de la visite de sydney, il est 18h, le guide rentre chez lui. publié par popop à l'adresse 18:00 6 commentaires libellés : oz, story board, sydney mardi 14 août 2007 la plus belle baie du monde welcome to sydney! bienvenue dans la ville où tous les voyageurs commencent leur périple australien.capitale touristique, cette ville avec son cbd ressemble à s'y méprendre aux cartes postales des villes américaines. de larges avenues avec des pickups et des hammers qui n'en finissent pas de circuler, joggueurs avec leur lecteur pm3 scotche à leurs oreilles, business mans avec leur café starburk, métro aériens et skycrappers, gigantesques enseignes coca cola, kébab, quartier chinois, centres culturels, musée et aquarium, quartier des bars et des putes (ce qui donne des bars a putes) tout y est. pour un petit parisien comme moi, rien de très spécial finalement, j'ai su très vite où et comment trouver ma cannette de coca et mon paquet de pattes. décalage entre une ville qui cherche à grandir à vitesse grand v et à conserver une trace de sa courte histoire, on retrouve au beau milieu des skycrapers de sydney les vestiges des premiers colons. les rocks, anciens docks de sydney reconvertis pour nous les petits touristes, en sont un pur exemple, on a presque l'impression de se retrouver sur un plateau de hollywood chewingum tellement cela ressemble à de la reconstitution.mais c'est en cela que sydney est à part. elle ressemble à un melting-pot urbain, entre ces vestiges, ses tours gigantesques, ces arbres plantés lors de l'arrivée des premiers aventuriers, ces voitures qui ont des pneus plus grands que moi et ce balai de chauve-souris qui commencent à 18h tous les soirs dans ce ciel s'éteignant après une longue journée.mais sydney ne serait pas sydney sans ses suburbs (sa banlieue) et ses plages. allez jusqu'à circular quai et prenez un ferry pour découvrir cette baie aux plages somptueuses. no comment.enfin voila quoi, que du bonheur! publié par popop à l'adresse 16:00 1 commentaires libellés : oz, story board, sydney messages plus anciens inscription à : messages (atom) popop style 19ème arrondissement, paris, france afficher mon profil complet mais où est popop? jukebox le classeur de popop backpacker (2) channel seven (2) event (1) fairy tales (3) memento (1) oz (8) story board (5) sydney (8) georges brown botanic gardens popop tire sa toile liz en oz cienene pilsen, my prague's blog iris99的網路日誌 olympique de marseille veolia environnement au service du développement durable aboriginal dance wide loading...

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